Six jours loin des écrans !

Six jours de déconnexion digitale ont permis de prendre du recul, d’échanger avec les uns et les autres sur les chemins à prendre pour préparer l’Yonne en Tête de la rentrée. Loin des écrans pendant une petite semaine, on a eu l’impression d’un mois de vacances. Certes, ce break n’avait pas été programmé mais il a apporté un recul constructif. Alors, entendre nos amis parler de la détox digitale sur France Bleu Auxerre tombait à point nommé.

Ci-après, en synthèse, le regard d’Amina et Philéas sur un sujet d’actualité. Nous vous avons présenté Amina au travers de l’une de ses activités fétiches : l’accompagnement personnel des décideurs de l’Yonne, qu’ils soient entrepreneurs, cadres ou en charge d’institutions.

Concernant Philéas, il a choisi le chemin de Compostelle pour vous guider dans votre développement personnel.

Il vous accompagne sur 5 ou 7 jours dans une démarche initiatique basée sur les méditations, le ludo-coaching et autres outils qui vous portent vers un autre regard.

Ciommencez à cheminer à ses côtés au travers de ce lien.

Le regard d’Amina et Phileas sur la détox digitale

Le Smartphone est devenu notre centre de gravité. Faire une détox digitale, c’est décrocher de nos écrans. Comme de nombreuses mauvaises habitudes, ce lien s’est immiscé  de manière très discrète. Souvenons-nous ! L’arrivée de facebook ne date que de 2007… Et pourtant, en quelques années, ce réseau social et les autres nous ont véritablement reliés à nos communautés virtuelles.

Au quotidien, notre cerveau en mode Urgence

Toute sollicitation de notre smartphone étant perçue comme une urgence, elle génère des difficultés à nous concentrer à nouveau. Ainsi est-elle nuisible pour la productivité. Elle conduit également à l’isolement de notre environnement direct et non virtuel. On s’est intoxiqué au smartphone en quelques années seulement… Nous sommes tenus en laisse avec une connexion immédiate dès le réveil, pour la majorité d’entre nous.

 

Poser le smartphone permet de libérer du temps pour autre chose.

Les notifications polluent les communications. Elles révèlent notre crainte de la déconnexion, de la perte du lien social. On a peur de louper l’information comme s’il était important d’accéder aux actualités en temps réel. Ces peurs inconscientes ne sont pas toujours fondées. Notre cerveau a besoin de silences. Un instant de méditation au réveil en simplicité et en rectitude favoriserait la construction de soi.

Le smartphone génère trop d’informations à gérer. Elles deviennent des sollicitations, des pollutions permanentes. L’idée positive est de reprendre le contrôle sur notre espace de vie, en douceur. Mettre en place, des plages de déconnexion est un bénéfice. En choisissant le mode avion, on retrouve de la sérénité en vacances ou de l’efficacité au travail. Les appelants sont immédiatement redirigés sur la messagerie… et on les rappelle ensuite… s’il y a lieu.

Aujourd’hui, le téléphone est l’outil de tous nos besoins immédiats. Connexions, achats, alarme, minuteur, réveil du matin, agendas, vidéos, photos… On se retrouve avec des milliers de supports stockés dans des disques durs… La peur de perdre des photos comme celles de naissance d’un enfant par exemple, constituent, aussi, une digitale intox.

En vacances, le smartphone ne doit plus un vecteur de stress !

C’est une occasion idéale pour décrocher et domestiquer l’outil. Pendant quelques jours, notre « ami inséparable » peut avoir le seul rôle de vecteur de connexion avec de nouveaux horizons non virtuels en restant, le plus souvent tout au fonds du sac !

Et si vous sortiez de votre portable pour cheminer dans le présent !

Le Chemin de Compostelle offre une vraie déconnexion pendant plusieurs jours consécutifs car on ne revient pas à proximité de notre quotidien et des objets qui sont les supports de notre intoxication. Lorsque Philéas vous accompagne, il demande que le smartphone reste au fonds du sac pour une éventuelle reconnexion le soir en mode famille principalement. Les personnes qui vont cheminer évoquent la peur de se déconnecter mais la nature reprend l’espace au fil des deux parcours proposés sur 5 ou 7 jours. Prendre le chemin est l’occasion de s’isoler en s’imprégnant de la quiétude du parcours en vue d’une reconnexion à soi-même.

Dans la nature, il n’y a pas de silence… les oiseaux, le vent, les bruits, de nos pas, de notre corps. Sortir ses yeux de l’écran, c’est découvrir toutes les beautés laissées de côté alors que la vie fourmille d’émerveillements. Notre smartphone nous décentre. En prenant le chemin avec Phileas, vous retrouvez l’intérêt des jeux et d’autres activités telles que la méditation postée ou marchée. Définitivement, vous donnez de l’épaisseur à votre regard en vous déconnectant du quotidien porté par le chemin.

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