Une belle harmonie entre le conteur et les musiciens

Nourri par l’orchestre, Didier Weill est devenu cet animal qui fait le conte. Tantôt l’âne pèlerin de Brême, tantôt le chien condamné, puis le chat vieillissant, et enfin le coq à rôtir ; Affamé, il se transmuta en monstre à 4 têtes pour faire fuir les brigands.

Plus la musique se formait et plus le conteur s’ancrait dans les personnages. Au milieu du conte, il prenait siège dans la maison au mille victuailles et nous installait à ses côtés dans un univers musical remarquablement orchestré.

Didier Weill et l’Orchestre de Pont sur Yonne !

Il paraît qu’on en parle jusqu’à Brême tant l’harmonie est née de ce mariage dans le sillage d’une première expérience qui prenait corps avec Bernard Le Coq en 2018.

Exceptionnellement, le conte revivra le 12 janvier prochain au théâtre de Sens à 16h00. Alors pensez à vous laisser pousser des pattes afin d’accourir toujours plus vite vers cet univers imaginaire né des frères GRIMM

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