Rencontre avec les éfrits et le Maître
Autour du Temple de Salomon, le royaume des éfrits. Plus forts que les Djinns maléfiques, ils ont le pouvoir de protéger les humains mais peuvent également les posséder, les envoûter. Ils participent à la construction de l’édifice.
En ce XXIème siècle, Diablam les a retrouvés. Il a pactisé avec eux pour nourrir nos cages à miel d’une musique dont les codes nous échappent.
De Lucienne à Lou, quatre générations se laissent envoûter par les paroles, musiques et clips de Diablam.
Séduit, je le suis aussi ! Les textes sous les yeux,les phrases dessinent un relief inhabituel. L’ordre ou le choix des mots ne sont pas les miens, ni ceux de ma génération.
« Comme l’impression d’avoir un coeur en cage, j’lui en veut pas et lui rend même hommage, mon petit coeur elle l’a pris en otage, sourire sur le visage, pétale de rose en bouquet mes principes en reflet » – Extrait de Vitriol
Mais doit-on posséder les codes pour être sensible aux arts ?
En ce XXIème siècle, nombreux sont les adeptes du Grand Léonard qui rencontreront la Joconde. Fascinante, elle vous transperce de son regard sans jamais vous lâcher… quel que soit le coin de pièce dans lequel vous seriez tenter de vous réfugier.
La Musique de Diablam est faite sur cette même profondeur ! Aujourd’hui, on la classe dans la pop urbaine. Pas vraiment ce rap dur qui véhicule la haine ou la révolte mais un rythme qui lui ressemble et porte des valeurs universelles ; de l’Amour, de la Tentation, du Pardon et de l’Introspection. Alors succombez au Vitriol et aux cinq autres morceaux (en lien ici).
Ils nourrissent nos valeurs humanistes !
Bertrand ta publication est écrite avec goût (j’avoue que j’ai dû chercher quelques noms qui me sont inconnus) et rejoins ce que je pense de Diablam que je suis depuis ses débuts. Il fait de la poésie pop urbaine sur des thèmes où la majorité peut se reconnaître pour l’avoir vécu.😔🤜🤛