Merci à nos commerçants de centre-ville

Ce matin, j’essayais d’imaginer nos centres-villes sans nos commerçants indépendants.
Si on venait à perdre les bons, nos villes ne deviendraient-elles pas des cités dortoirs ?
Que deviendrait la main d’oeuvre qualifiée ?
Dans les arrières-boutiques, un deux ou trois salariés assurent la production ou la préparation des commandes.

Préserver leur emploi paraît avoir du sens
dans une période où même les sujets en chocolat mettent un gilet jaune .

En ligne avec nos valeurs

Les enfants ont compris que les cloches allaient être cohérentes avec les valeurs défendues. Pour un budget établi, nous allons fêter Pâques  en fuyant les grands centres qui enlaidissent nos territoires.

Un arrêt chez l’Atelier du Mylor car Christophe est transparent sur ses achats. Il nourrit mes enfants et la cloche en chef (plus communément appelée papa) avec des matières premières et un engagement qui font la force, de son enseigne, de nos territoires. Grâce à nos commerçants, nos petites villes gardent leur typicité tout en générant des emplois à haute valeur ajoutée.

Ce matin, alors que je bois tranquillement mon café, Christophe, Catherine, Julie et les salariés de la pâtisserie chocolaterie sont au service des clients. Oubliez donc vos éventuels a-priori sur le petit commerce et rendez-leur visite !

On en a toujours pour son argent,
on préserve notre santé et notre territoire,
quand on va voir ceux qui ont du talent.

Merci à eux.

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